 |
|
 |
|
Samedi 8 décembre 2007 à Paris -14 H République. La 5eme édition de la manifestation contre le chômage et la précarité organisée par les associations de lutte contre le chômage, A.C, MNCP, APEIS et CGT Chomeurs
|
Le mardi 20 novembre 2007 à l'appel des fédérations Cgt, Cfdt, Cftc fo, fsu, Unsa, Solidaires
|
Manifestation des militants du syndicat CFTC Picardie le 22 septembre 2007 pour le respect du repos dominical des salariés afin de sauver la vie familiale, culturelle et associative ''face au gouvernement qui tente d'imposer la généralisation du travail le dimanche pour les salariés des grandes surfaces'' . Auteur: LAFFITTE M.
|
14/09/2007 AMIENS (AFP) - La direction de Goodyear-Dunlop à Amiens (2.700 salariés, plus gros employeur de Picardie) a annoncé vendredi l'annulation du référendum sur la réorganisation du travail initialement prévu jusqu'à samedi sur ses deux sites de production, bloqués depuis la nuit par les syndicats.
La CGT, syndicat majoritaire, bloquait depuis minuit les accès du site de Goodyear et depuis depuis 2H00 du matin ceux de l'usine Dunlop, pour empêcher l'organisation du référendum.
"On va continuer notre action jusqu'à dimanche. On n'a pas de preuve écrite que le référendum est annulé. Maintenant on ne parle plus d'un référendum mais de notre avenir puisque le site d'Amiens est menacé", a affirmé à l'AFP Mickaël Wamen, délégué CGT.
Dans son projet, rejeté par les syndicats (CGT, Sud, CFDT, CFTC...), la direction souhaitait réorganiser le travail en quatre équipes qui tourneraient sur huit jours -un système baptisé 4X8-, contre cinq équipes actuellement.
Le passage en 4X8 devait entraîner la suppression de 500 emplois sur trois ans sans licenciement mais serait une condition pour un investissement de 52 millions d'euros afin de rendre l'usine plus compétitive, selon le projet.
Une porte-parole de la direction avait indiqué vendredi qu'en cas de rejet du projet par les salariés "le site qui est aujourd'hui menacé, entrera dans une phase de déclin".
Auteur: LAFFITTE M.
|
Mardi 31 juillet 2007. Des dizaines de rassemblements ont eu lieu en France contre le projet de loi sur le service minimum dans les transports publics terrestres. Le texte est examiné depuis lundi par les députés à l'Assemblée nationale.
|
18 juillet 2007 AFP: "Les salariés de France Telecom en Corse ont voté mercredi en assemblée générale en faveur de la reprise du travail après une grève de 37 jours (...) Mardi, un protocole d'accord avait pu être trouvé entre la direction et les grévistes après des négociations marathon qui ont duré 26 heures depuis dimanche en préfecture. Ce texte devait cependant être soumis aux salariés pour être validé, ce qui a été fait mercredi. Cet accord prévoit la titularisation de huit salariés en CDI, à raison de quatre dès septembre 2007, et quatre autres au premier trimestre 2008, sur la trentaine de contrats à durée indéterminée demandée par les grévistes. L'accord stipule également l'embauche de cinq CDD de longue durée avec perspectives d'embauche en CDI au bout de 18 mois, ainsi qu'un plan exceptionnel d'investissements sur deux ans, d'un montant non précisé. La grève (...) a démarré le 11 juin."
|
Pour la défense de l'emploi en Maurienne (Savoie), devant l'entreprise Métaltemple. Délégations des entreprises locales et départementales pour soutenir ceux de Métaltemple, en liquidation judiciaire. Occupation de la gare de péage autotoute A43 avec blocage de la circulation. - Auteur: Bernard73
|
Les 250 manifestations syndicales du 1er mai en France ont rassemblé plus de 200 000 personnes, dont 60 000 à Paris, soit près du double des cortèges de 2005 et 2006, a indiqué la CGT. La confédération a souligné que la mobilisation du 1er mai prenait cette année «une résonance particulière» à cinq jours du second tour de l'élection présidentielle. Elle a permis de rappeler «l'importance du droit de grève et des libertés syndicales dans toute démocratie», droits que «les salariés ne se laisseront pas reprendre».
La CGT s'est félicité de ces manifestations d'«unité des salariés, des étudiants, des chômeurs, des retraités», «à l'heure où certains font de l'opposition entre telle ou telle catégorie de salariés ou de chômeurs le fil conducteur de leur stratégie politique». (source: Libération)
Photos de P.Leclerc, Wasegr, sandino91, Georges et Bernard73 à Chambery
|
Intermittents du spectacle, chômeurs et précaires occupent le 26 avril 2007 le toit de l'UNEDIC pour exiger des négociations, face aux réductions de leurs droits aux indemnités chômage. Au bout de 48 heures, ils finiront par être évacués, après avoir réussi à attirer l'attention sur leur situation.
|
|
Mouvement social à la poste de la rue du Louvre à Paris - le plus gros bureau de poste avec 1200 salariés, bientôt transformé en espace culturel et de services - à l'appel des syndicats CGT, SUD, FO. Les postiers protestent contre le plan de restructuration prévoyant la disparition d'un tiers des postes de guichetiers en 2008, une mesure qui s'ajoute à d'autres réductions d'effectifs (400 suppressions de postes sur 600 dans l'activité tri).
|
Manifestation Européenne Alcatel Lucent
le 15 mars 2007 à Paris (par Philippe BIDET) - Des salariés d'Alcatel-Lucent venus de France, d'Allemagne, d'Italie, des Pays-Bas et de Belgique défilent contre le plan social et la "fuite des matières grises" vers l'Asie, à la veille d'un comité de groupe européen. Objectif: "faire reculer Alcatel-Lucent sur son projet de délocalisation vers les pays à bas coûts, un projet qui contribue à sacrifier un savoir-faire européen", selon la CFDT. (AFP)
|
Etats Généraux des services publics le 10 mars 2007 à Paris (par Wasegr)
|
|
PARIS, 28 fév 2007 (AFP) - Quelques centaines de salariés de la métallurgie ont manifesté mercredi à l'appel de la CGT devant le ministère de l'Emploi et le Medef, pour défendre le principe d'un départ anticipé "amiante" et une retraite anticipée pour "travaux pénibles", a constaté un journaliste de l'AFP.
"Nous sommes là pour demander une négociation franche car aujourd'hui, les possibilités de départ en retraite anticipée pour les travaux pénibles et exposés sont de plus en plus bloquées. La colère monte quand les gens s'aperçoivent qu'il n'y a plus de système pour partir", a déclaré à l'AFP, Yves Bongiorno, responsable fédéral CGT.
"Le travail doit redevenir un lieu de la construction de l'humain et non de sa destruction", a ajouté M. Bongiorno, estimant à environ 500 le nombre de manifestants.
Derrière des banderoles dénonçant l'"amiante qui tue" et soulignant "l'urgence du droit à une retraite anticipée à 55 ans pour les travaux pénibles", les manifestants ont parcouru les 500 mètres séparant le ministère de l'Emploi du siège du Medef (patronat) où des délégations ont été reçues.
Les entreprises Valeo, Renault, Eternit, Arcelor et une forte délégation de l'Andeva (Association nationale de défense des victimes de l'amiante) étaient représentées.
Une négociation patronat-syndicats sur la pénibilité au travail, prévue dans le cadre de la loi Fillon sur les retraites, est au point mort depuis près d'un an et doit reprendre début avril.
|
Journée de grève et de manifestations pour les cheminots, la fonction publique, les lycéens et les étudiants à l'appel de six fédérations syndicales (CFDT, CGT, FO, FSU Solidaires et Unsa)
|
Rassemblement national à Paris le 19.01.2007 au Siège de La Poste suite à la grève dans les centres de tri postaux.
|
|
|
|
|
|
 |
|
 |
|